e séjours indistincts à Bruxelles, Nice, Copenhague, Berlin, Montréal, Monaco, Florence et Cannes vivent des images. 1986−2010. 1 9 17 25 33 41 49 57 65 73 81 89 97 105 113 121
1Foire de Nice (Alpes-Maritimes), 2006. "Taratata ! SuperSentrais est arrivé."
2Foire de Nice (Alpes-Maritimes), 2006. Des tableaux à profusion et à foison !
3Élisa R. à la Foire de Nice (Alpes-Maritimes), 2006. Élisa, jeune mannequin de 17 ans aux amibitions de top-model m'offrit quelques instants de sa présence et de son talent. Cela a été une rencontre rare, précieuse et très élégante.
4Valérie à la Foire de Nice (Alpes-Maritimes), 2006. J'aime beaucoup cette image où une conversation étrange et paradoxale semble s'installer entre une demoiselle itinérante de la Foire et l'un de mes modèles peints.
5Expo à Thorenc (Alpes-Maritimes), 2006. Une tente immense qui abritait les étals d'autres artistes ne put contenir aucun des mes tableaux : j'étais le dernier arrivant. Or un large débattement extérieur était désert que je résolus d'investir : j'en ai été absolument ravi ! Cette image invite à penser que la lumière naturelle, en l'occurence un grand soleil, n'altère en rien le spectacle de mes œuvres peintes, leur consacrant plutôt un lustre somptueux ... Enfin, les matériaux mis en œuvre pour la réalisation de mes tableaux, et notamment les pigments colorés, s'avèrent participer à leur permanence en plein air.
6Expo à Thorenc (Alpes-Maritimes), 2006.
7Expo à Thorenc (Alpes-Maritimes), 2006.
8Expo à Thorenc (Alpes-Maritimes), 2006.
9Expo à Thorenc (Alpes-Maritimes), 2006. Une conversation est toujours engageante. J'entends par ceci qu'il m'est utile mais non suffisant de déambuler avec quelques unes de mes œuvres peintes pour disposer du regard voire de l'intérêt d'un promeneur ou d'une promeneuse. Je précise toutefois qu'un tel phénomène de la communication, aussi bienheureux qu'il puisse paraître, ne nourrit en rien mes tableaux or qu'il introduit un paradoxe : –"Woâh ! tant de jeunes femmes peintes. La chose est fabuleuse, certes. Mais je suis déjà jalouse car je crains d'être la suivante, et de n'être que la suivante". Cependant, c'est judicieux de refermer un livre d'Histoire pour inventer sa propre existence. Quant à peindre un Nu, c'est cela que je pratique depuis trente années car une telle aventure agit sur moi comme une destinée improbable, mythique et toujours inespérée. En revenir aussitôt qu'un portrait est achevé, je suis toujours éberlué.
10Atelier à Cannes (Alpes-Maritimes), 2005. Œuvrer sur un plan horizontal permet de mettre en place des couleurs dont l'extrême fluidité épouserait finement, par gravité terrestre, la moindre aspérité de mes matières.
11Atelier à Cannes (Alpes-Maritimes), 2005. L'étape de fabrication d'un châssis en bois revêt une attention particulière. En effet, lors du séchage des matières humides, les forces de tension et de compression qui s'exercent sur un châssis sont si phénoménales qu'elles mèneraient les tableaux à leur ruine ! La triangulation d'un châssis propose trois fonctions avantageuses : elle fixe les angles, soulage la portée, et interdit le voilage du plan. Musique d'atelier : 1min 49sec.
12CARINE ET CARINE, diamètre 224cm, 2005. Briser mes matières peintes, les échancrer pour les poser finalement sur une toile procède d'un paradoxe rare, brutal ou fou ! Ainsi apparaît en une ligne abstraite le blanc de la toile, tandis que cette couleur absolue prétend signifier une part de néant, co-substantielle de l'œuvre définitive. L'association d'une grande toile (2005) avec mon personnage (2013) invite à deviner l'échelle des grandeurs ...
13GÉRALDINE, 65x48cm, 2005. Bonjour Géraldine, ou ma mémoire de toi."
14ANABEL, 65x48cm, 2006. Bonjour Anabel, rien qui [ne] fut subtil ne s'absente aujourd'hui de ma mémoire."
15Sans titre, 65x48cm, 2005.
16Sans titre, 65x48cm, 2005.
17GÉRALDINE, 65x48cm, 2006. Bonjour Géraldine, voici que je te consacre encore aujourd'hui un joli popotin."
18CAROLINE, 140x120cm, 1993. Lecture audio : Dans quel ordre de mes pensées n'est-il pas vain de croire que Caroline ressemble à ce portrait ? Jeune femme à l'imaginaire [si] merveilleux, elle a suscité en mon esprit un voyage désordonné dont je transcris des fragments. Si me convaincre d'une chose n'était jamais espérer qu'elle soit certaine, et bien que Caroline surgisse comme improbable, je peux croire qu'elle existe vraiment."
19SAIKO, 140x120cm, 1995. Lecture audio : Il a fait si chaud à Nice en ce mois de juillet que j'ai abandonné ma chambre d'hôtel et qu'un ami journaliste me proposait d'investir un rez-de-jardin au pied de sa villa. J'y ai hanté de mon ombre le jardin, nourri les deux chattes de mes délires solitaires, amusé d'autres locataires de mes errances picturales."
20Atelier à Nice (Alpes-Maritimes), 1998. Isabelle.
21Atelier à Nice (Alpes-Maritimes), 1998.
22CARINE, 65x48cm, 2006. Bonjour Carine, que n'eût-on sacrifié de mon animisme primal ?"
23MA BELLE, 65x48cm, 2006. Sur le pont de Nantes ma Belle ira danser."
24NICOLE, 65x48cm, 2006. Bonjour Nicole, un bleu d'azur avait trouvé sa correspondance la plus exacte dans la lumière de tes yeux."
25Sans titre, 65x48cm, 2006. Alouette, gentille Alouette je te plumerai."
26Sans titre, 65x48cm, 2006.
27ANABEL, 65x48cm, 2006. Anabel from New-Zeland."
28Expo à Cannes (Alpes-Maritimes), Galerie Gantois, 2008.
29SANA, 140x120cm, 2007.
30VALÉRIE, 108x68cm, 2005. Lecture audio : Bonjour Valérie, lorsque nous rencontrions ensemble la même nostalgie toute enjouée de la haute campagne varoise qui t'a vu naître puis devenir femme, je ne doutais guère que ton émotion partagée auprès de moi allait susciter en mon esprit l'envie irrésistible de te consacrer librement un portrait."
31VALÉRIE, détail 1.
32VALÉRIE, détail 2.
33VIRGINILLE, 108x68cm, 2007.
34VIRGINILLE, détail 1.
35VIRGINILLE, détail 2.
36VIRGINILLE, détail 3.
37Performance à Saint-Paul de Vence (Alpes-Maritimes), 2001.
C'était un samedi de juin 2001. Ma performance, mon happening a été un évènement plutôt burlesque voire baroque. Cela a consisté en une ambition téméraire d'investir le domaine public de la célèbre cité de Saint-Paul. Sans autorisation communale ; et pour cause : mon courrier recommandé avait instruit monsieur le maire de Saint-Paul que je viendrais, sans toutefois daigner lui révéler l'endroit. Secrètement, j'avais projeté d'occuper et de "décorer" les abords de la Galerie d'art Guy Pieters avec quelques huit tableaux perchés en haut de potences, juste en face de la Fondation Maeght. Ce samedi-là, le plasticien Christo et sa compagne Jeanne-Claude dédicaçaient un ouvrage sur leur projet new-yorkais, et monsieur le maire de Saint-Paul avait prévenu qu'il sanctionnerait sévèrement ma présence ! Quoi que périlleuse, la suite a été délectable, un temps ... pour s'imposer affligeante, finalement par l'inclination qui me portait vers une jeune femme.
Un ami sûr, venant de Nice au volant de son fourgon nous déposa, moi et mes tableaux à quelque cent mètres de la galerie Pieters, hors de vue. Benoîtement et promptement j'ai installé mes oeuvres, telles qu'elles apparaissent sur l'image. Christo était en pleine dédicace sur une terrasse de la Galerie Pieters ; je n'étais pas très éloigné de lui et de sa compagne : une quinzaine de mètres, pas davantage nous séparaient. C'est pour cette raison que la foule de leurs afficionados découvrit assez immédiatement ma présence et mon activité. Néanmoins il fallut à cette foule un long moment pour se convaincre qu'un évènement inattendu et incongru allait l'interpeler et la stupéfier.
Deux policiers de la "Municipale" qui avaient la charge d'organiser le stationnement des berlines ne furent pas plus prompts à comprendre qu'un délit se constituait sous leurs yeux. Dans un premier temps ils me laissèrent œuvrer sereinement, même achever mon installation. J'avoue que j'ai savouré celle-ci délicieusement : j'avais ainsi réussi mon entreprise, ma performance, mon happening. Ayant conquis, j'étais victorieux ; il fallait alors gérer ma conquête et ne rien perdre de mon avantage car la foule se dressait maintenant en deux fronts : les "pour" mon happening, et les "contre". Goguenarde mais autoritaire, Jeanne-Claude qui reçut mon hommage prit mon parti et me lança un "vous-avez-bien-fait" qui résolut toute velléité de discorde.
La Municipale ébahie allait enfin se ceindre de mon effraction :
"−Bonjour Monsieur. Le Maire nous a ordonné d'interdire ce week-end toute occupation sauvage du domaine public ...Or vous débordez de la galerie."
Je retournai aux agents ce mot sibyllin, surréel ou kafkaïen :
"−Ah ! je n'appartiens pas à la galerie Pieters. Cependant, j'ai effectivement instruit le Maire de ma présence aujourd'hui ...Et je demeure en contact avec lui : joignez-le au bord de sa piscine, il vous renseignera sur ma présence."
J'avais gagné par ce fait un répit d'une quinzaine de minutes de perplexité, de complexité et de confusion dans l'esprit des vigiles. Je me suis éloigné de mes œuvres, feignant d'ignorer leur importance. Ma ruse a abusé longtemps les municipaux qui tinrent, par circonspection à convoquer le grand maître de séance, Guy Pieters soi-même qui leur servit ce langage :
"−Mais enfin Messieurs les Agents, je vous répète que je ne suis pas responsable de ces tableaux. Et, je voudrais les retirer que je n'en aurais pas le droit car ils ne sont pas chez moi !"
Beau joueur, mais ne pouvant ravaler ni mon ironie ni mon amusement, je m'avençai vers le trio agité pour me fendre d'une confidence assassine :
"−Monsieur Pieters, je suis l'auteur de cette ... performance ! À l'heure où Christo le grand Emballeur est présent chez vous, je me suis autorisé à emballer l'accès de votre galerie. Bon, ceci n'a rien de méchant, n'est-ce pas ?"
Flashback sur mon aventure. Sept jours plus tôt, en ce lieu de la mirifique Galerie Pieters, j'honorais un rendez-vous à toute bonne fin de présenter mes œuvres. Absent, le grand Chef ne pouvait me recevoir. Ce fut son bras droit qui me reçut, et aussitôt me congédia ; rustrement :
"−Nous n'avons plus de temps à vous consacrer. Puis, seules les œuvres qui valent quelque chose sont admises dans la Galerie. Dehors !".
Je me suis senti floué, blessé. Ne m'en fallut guère plus pour décider de revenir sept jours plus tard à l'heure du vernissage de Christo et Jeanne-Claude.
Suite de la performance à l'heure du vernissage de Christo. En pagaille dans la foule, Guy Pieters le grand Chef tout enrubanné d'une jolie chemise blanche certie d'une cravate de soie bleue et d'un cigare éthéré, saisi de ses deux mains m'enjoignit d'un bel accent flamand :
"−Mais enfin, qu'est-ce que vous voulez ?"
Je concédai d'un égal vocable belge:
"−Un rendez-vous, juste un rendez-vous."
"−Ah ! si dans ma vie j'ai fait des bêtises, celle-là est la plus belle ..."
Je n'ai jamais compris de quelle bêtise il avait fait allusion, mais rendez-vous fut pris pour le lundi suivant. Nous y fûmes tous deux présents. J'engageai aussitôt le dialogue :
"−Guy Pieters, je vous ai choisi ! Hors d'une délégation culturelle chinoise qui faisait halte à Nice, une jeune violoniste de l'Ochestre National de Shangai n'a pu s'extraire durablement quoi qu'elle se fut réfugiée auprès de moi. Et j'en ai été meutri. Monsieur Pieters, daignez financer mon séjour à Shangaï afin de l'y retrouver ; j'y peindrai mille portraits d'elle que vous recupérerez. Et par l'ambassade de Belgique ou de France, elle et moi serons libres. Vous conserverez les portraits que j'y aurai peints. Guy Pieters, serez-vous mon partenaire et mon soutien pour cet aventure, pour nous rendre libres ?"
Affolé par l'énormité de mon délire, Guy Pieters m'a soufflé qu'il ne dirait pas "non" tout de suite. Mais la suite m'instruisait qu'il n'aurait jamais dit "oui", ni même qu'il n'eût dit jamais "non".
Tao Kai-Li, National Hong-Kong Orchestra Performer, telle qu'elle apparaît sur le siteWeb officiel de l'Orchestre en 2008.
Ma performance s'acheva sur ceci :
"−Monsieur l'Agent, j'accède à la requête du Maire : je démonte mon installation. Toutefois mon chauffeur et son fourgon stationnent à quelques vingt minutes d'ici. Je les y rejoins à pied. Entretemps, je vous prie d'assurer l'intégrité de mes œuvres : assurez-vous ?"
"−Faites, nous assurons !"
Ils n'ont pas conjuré.
Secondé d'Édouard mon merveilleux chauffeur auprès duquel j'ai pris le temps savourer ensuite trois "demi" en Grand'Place de Saint-Paul, je suis revenu 3/4 d'heure plus tard démonter mon installation, clore mon happening. Ma performance prenait fin : les municipaux me saluèrent respectueusement. Tandis que les mêmes vigiles m'avaient d'abord interdit, ils avaient finalement pérennisé ma présence : j'avais été trop fort ! mais vainement pour Tao Kai-Li que je n'ai jamais retrouvée. Dès lors, Guy Pieters me manisfesta une indifférence sublissime. Et je ne suis jamais retourné à la Galerie.
Épilogue, 2013.
• Jacques Matarasso, grand florentin de Nice avait sponsorisé ma performance, qui fut génial sans toutefois considérer que ma façon fut des meilleures. Je lui conserve ma gratitude absolue, notamment de m'avoir extrait de Berlin en décembre 1992, et bien évidemment de collectionner mes œuvres dès 1989. Tandis que sa fille Laure est et demeure une égale amie en 2013.
• J'engage que Guy Pieters ne reconnaîtra jamais ma glorieuse farandole. Entretemps, une obscure affaire de "faux César" en 2003 le consuma, pour le moins, en inculte de l'art contemporain ...
38MARION ET MARION (disque), diamètre 224cm, 2005. Lecture audio : Bonjour Marion, nous conversions plaisamment lorsque j'évoquai la peinture de Amadeo Modigliani dont je te tendis un simple ouvrage qui le présentait. Tu y choisis un portrait de femme nue, j'en pris un autre. Nous nous sommes ensuite amusés [de savoir] si nous préférions la savoir assise ou allongée. Je convins finalement avec moi-même de t'envisager, dans la prospective de consacrer à mon tour un portrait : j'oserais t'y faire apparaître de façon multiple et déliée, sans même pouvoir deviner si un jour le spectacle t'en serait offert."
39MARION ET MARION (disque), détail 1.
40MARION ET MARION (disque), détail 2.
41Atelier à Cannes (Alpes-Maritimes), 2008. Avant-veille d'une expo à la Galerie Gantois où seront présentés notamment les grands tableaux CARINE ET CARINE (disque), MARION ET MARION (disque), MARION ET MARION (rectangle + 2 alcoves).
42ALEXANDRA ET ALEXANDRA (rectangle + 2 alcoves), Cannes, 2008.
43ALEXANDRA ET ALEXANDRA (rectangle + 2 alcoves), 140x200cm, 2006.
44ALEXANDRA ET ALEXANDRA (rectangle + 2 alcoves), détail.
45ALEXANDRA ET ALEXANDRA (rectangle + 2 alcoves), expo à la Galerie Gantois, Cannes, 2008.
46Expo à la Galerie Gantois, Cannes, 2008. Christian Zand, Jean Sentrais, Charles Gantois.
47MARION ET MARION (rectangle + 2 alcoves), 140x200cm, 2006.
48MAUD, approx. 90x120cm, 1985. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
49GERBRICH, 110x130cm, 1991. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
50GERBRICH, 110x130cm, 1991. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
51GERBRICH, approx. 100x81cm, 1992. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
52GERBRICH, 130x118cm, 1992. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
55GERBRICH, 81x100cm, 1990. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
56GERBRICH ET GERBRICH, 48x78cm, 1990. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
57GERBRICH, 65x48cm, 1992. Époque du dessin aveugle (1985-1992)
58JOHANA FROM POLAND, 108x68cm, 2005.
59JOHANA FROM POLAND, détail 1.
60JOHANA FROM POLAND, détail 2.
61ROSEMARY, 120x120cm, 1998.
62ROSEMARY, 120x120cm, 1998.
63ROSEMARY, 120x120cm, 1998.
64Atelier à Nice, 2008.
65GAËLLE, 154x65cm, 2008.
66JEUNE FEMME FUGITIVE, 154x65cm, 2008.
67MA CAISSIÈRE, 154x65cm, 2008.
68FILE API&, 105x55cm, 2010.
69FILE API&, détail.
70ÉLODIE, 2008, détail.
71CINDY, 120x210cm, 2000.
72CATHERINE ET CATHERINE, 90x180cm, 1995.
73CHARLOTTE, 110x170cm, 1995.
74ROSEMARY, 170x170cm, 1998.
75NAIMA ET NAIMA, 196x200cm, 2008.
76ÉLISE, 65x130cm, 1995.
77GERBRICH, 84x79cm, 2001.
78JULIA ET JULIA, 140x140cm, 1995.
79LAURENCE ET LAURENCE, 140x140cm, 1996.
80LAURENCE, 140x140cm, 1995. Bonjour laurence, que survive à l'énoncé d'une énigme un je ne sais quoi de mystérieux, voilà bien qui puisse enchanter l'essentiel d'une pensée poétique. Te peindre y participe, autant que mon voyage dans l'imaginaire aménage en soi un espace mental qui m'est capital."
81EMMANUELLE, 120x120cm, 1998.
82GERBRICH, 61x70cm, 1993.
83ODE À L'EAU DE L'AU-DELÀ, diptyque : 2x 100x81cm, 1994.
84CHARLOTTE, 80x80cm, 1994.
85KARLA, 95x85cm, 1994.
86LAURENCE, 140x120cm, 1995.
87CHARLOTTE, 86x80cm, 1993.
88PERSILLE, 87x85cm, 1994.
89GÉRALDINE, 100x90cm, 2002, détail 1.
90GÉRALDINE, détail 2.
91CINDY-PAOLA-CLOTHILDE, 120x210cm, 2000.
92CINDY-PAOLA-CLOTHILDE, détail.
93VIRGINILLE, 120x120cm, 2002.
94VIRGINILLE, détail.
95Sans titre, 65x42cm, 1993.
96GERBRICH, 84x79cm, 2001.
97GERBRICH, détail 1.
98GERBRICH, détail 2.
99GERBRICH, détail 3.
100GERBRICH, détail 4.
101GÉRALDINE ET GÉRALDINE, 105x140cm, 2000.
102SHU (Tao Kai-Li), 140x200cm, 2009.
103SHU, détail 1.
104SHU, détail 2.
105SHU, détail 3.
106Affiche de l'expo à la Galerie Gantois, Cannes, 2008.